Livre: Jean de Dieu Momo dénonce l’opposition tribale

Le ministre délégué à la Justice développe sa thèse dans un ouvrage intitulé « De l’Union pour le Changement à l’Unité par le Rassemblement: Au-delà des idées reçues et du contentieux idéologique et axiologique ».

Je suis aujourd’hui surpris par les mauvais procédés des oppositions politiques ethno-communautaires, à laquelle je reconnais avoir appartenu hier, façonné certainement comme d’autres, par l’envoutement social et communautaire, par l’avènement du grand soir et ses lendemains qui chanteront : j’ai sans doute tort de l’être ! C’est pourquoi toute erreur, émanant de mon action personnelle, n’est pas masquée ; elle est soigneusement décrite dans mon livre intitulé De la démocratie récréative. Mais il arrive certaines fois que l’erreur accompagne la surprise. J’ai l’impression que ma capacité d’être surpris par des évènements malheureux, provoqués par l’idéologie de l’indignation tribale, des oppositions politiques ethno-communautaires, est en voie de s’estomper voire de s’effacer. Jadis, les minorités régnaient au nom de la majorité ; maintenant, certaines minorités sociopolitiques revendiquent le règne au nom des minorités voire au nom de la tribu, dans un pays aux tribus et ethnies diverses.

Ma mission principielle consiste à dire, en telle circonstance d’envergure ou tel autre évènement majeur, ce qui, je pense, doit être dit : soit pour alerter, soit pour suggérer, éventuellement pour critiquer. Et être suffisamment informé des choses pour me tenir prêt, à tout moment, et intervenir s’il le fallait. Quand on pense l’ordre des choses, et à son respect dans la marche des choses, par tous et pour tous, on n’admet point de mise en cause confuse. A certains moments, nous sommes beaucoup plus exposés à l’obscurité des idées reçues qu’à l’éclair de la réalité complexe du cours et de la marche des choses.

Suivant le cours et la marche des sessions législatives, il est admis que : chacune des mesures proposées par le gouvernement du Renouveau Politique au Parlement – projet de loi – chacune des mesures prises en application des lois – décrets – arrêtés – etc., n’ait de sens comme signification essentielle, que précisément comme jalon ou comme bond en avant vers l’émergence collective et effective au Cameroun. Et n’ait de sens comme replacé dans un Cameroun Uni, et émergeant. Simplement, les oppositions politiques ethno-communautaires n’acceptent pas la tenue en avant d’une telle perspective, élaborée pour l’émergence collective et effective au Cameroun. Et elles estiment que le gouvernement consiste à jouer, au coup par coup, le plus spontanément possible. C’est ainsi qu’elles pointeront du doigt, telle chaussée dégradée par les intempéries, telles infrastructures vétustes à refaire, au coup par coup, comme s’il n’y avait guère de programmation élaborée à la base, et adossée à des disponibilités budgétaires consacrées.

Aussi ajoutent-elles, qu’il ne faut pas un autodépassement élaboré – saut créatif salvateur – du tribalisme rétrograde de bas étage au rassemblement dynamique essentiel des forces vives du Peuple Camerounais, et dans toute sa totalité plurielle. C’est là que se situent nos divergences, qui portent sur la pertinence de l’exigence d’un Cameroun, rassemblé et émergeant autour des options essentielles à la « Stratégie Nationale de Développement ». Le rassemblement essentiel, est un ultime tabou dans l’opposition au Cameroun. Car nous pensons qu’un grand peuple, le Peuple Camerounais, a besoin d’une large perspective réelle, élaborée et dynamique. Pour que le peuple Camerounais se situe en harmonisant dans le temps, et avance en montant dans l’espace ; toujours vers l’Unité nationale, envers et contre tout, et à jamais pour l’émancipation de l’émergence effective et collective au Cameroun, grand et large de par sa diversité communautaire. Une tension de la nation vers ce qui fait l’essentiel de son unité, à l’exclusion de toute division.

En dépit des contradictions matérielles et même des querelles politiques voire politiciennes qui, vont de pair avec l’exercice de la démocratie partitive, d’une atmosphère systémique éco-libérale englobant. J’ai suivi, avec toute l’attention requise, certains raisonnements politiques qui frisent l’étourderie. Faudrait-il donc que je me charge du soin de donner une contribution à la division du Cameroun ? Là-dessus, nous sommes en désaccord total avec les oppositions politiques ethno-communautaires. Mais cela ne nous empêche pas d’agir, pas tel que nous l’aurions voulu, pas autant que nous l’avions voulu : la marche intertribale toujours orientée vers l’émergence effective et collective au Cameroun, pour toutes les Camerounaises et tous les Camerounais.

Le sens fécond de l’attention collective, est donc ce mouvement salvateur et fédérateur du regard, qui se tourne vers le rassemblement essentiel ou se détourne de la division vaseuse. Et ainsi, se rapproche du Cameroun dans l’Afrique, tel qu’il est en apparence et en filigrane.

L’émancipation de l’Unité nationale vers l’émergence effective et collective, de par l’effervescence renouvelée de la diversité communautaire du Peuple Camerounais, est en droit d’exiger aux oppositions politiques ethno-communautaires des justifications, concernant leurs virulentes protestations idéologiques et réactions axiologiques désordonnées. Notamment, celles qui sont antérieures ; mais plus encore, celles qui s’exercent actuellement.

Oppositions politiques ethno-communautaires

Je suis plus qu’étonné, après avoir vu la portée de leurs actions politiques, qu’après soixante années à s’opposer à l’ordre représentatif gouvernant, au Cameroun, que des oppositions politiques ethno-communautaires ne saisissent pas d’enseignements essentiels de leurs échecs politiques successifs, par une « dialectique de l’idéologie et de l’action de l’opposition politique au Cameroun », que le Peuple Camerounais est naturellement en droit d’attendre. Si la seule chose qui ne change pas, c’est le changement ; alors une évolution historique exigée de l’union pour le changement à l’Unité par le Rassemblement essentiel, trouve tout son sens fédérateur voire salvateur. Voilà qui ne va pas de soi et mérite de dépasser l’éparpillement des considérations voire des contradictions, pour approcher la complémentarité de la nécessité d’une synthèse intégrale, essentielle à l’émergence effective et collective au Cameroun.

Ces successions d’échec prouvent, à suffisance, que le peuple camerounais, majoritairement et de manière répétitive, n’adhère pas aux essentiels des options stratégiques de l’opposition politique. Mais pour se défendre, les oppositions politiques ethno-communautaires crient tantôt à la fraude électorale, tantôt à l’absence d’un « code électoral consensuel », etc. Elles racontent, chacune, le récit totalitaire de leur repli identitaire. La totalité n’est alors justifiée, que par et pour le compte d’une assignation à identité fixe. Au lieu de raconter l’histoire du Cameroun, uni par sa diversité, les oppositions politiques ethno-communautaires racontent mieux celle de leur singularité : qu’elles sont toujours victimes de l’ordre représentatif gouvernant, qu’elles sont systématiquement victimes de marginalisation, de spoliation ou d’assimilation. Et elles tentent, à l’aide d’une dialectique douteuse, de faire émerger une vérité qui ne correspond pas à la logique politique du Cameroun, dans une déclinaison de la politique contingente aux circonstances du règne des singularités voire des minorités, forcement ambivalent et contradictoirement débridé. Doublées d’une obsession quasi addictive à démonter tout, au nom de la flamboyance de la repentance qui apparait à ceux et celles, qui la professent, comme une exaltation de sa propre turpitude, de sa croyance innée.

Ces oppositions ne se préoccupent pas du contenu historique du Cameroun sociopolitique dans sa totalité, mais s’occupent à l’affutage des instruments ethno-communautaires contondants qui, permettraient de liquider un contentieux idéologique et axiologique contre la personnalité de l’homme du Renouveau Politique au Cameroun. L’opposition a beau jouer l’inattention tout en simulant un intérêt ou de la crédulité ; l’idéologie de l’indignation du regard qu’elle maintient sur la division, par pure convoitise, aux malfaiteurs de la maison Cameroun, n’échappe point au regard ambivalent de leur sagace remplaçant. Autrement dit, tout soit disant contre-pouvoir, ne peut se prévaloir de ses propres turpitudes, acquises et transmises.

Aux figures emblématiques des oppositions ethno-communautaires, pensez-vous que le résultat d’une élection présidentielle, est le résultat d’une cabale contre une éminence affinée en politique ? Je ne défends personne contre ces oppositions politiques ethno-communautaires. J’attaque les non-sens des analyses étriquées, et je détruis les contre-sens des actions rapiécées et réactions faussement inspirées, idéologiques et axiologiques, à effet socio-politique clivant, par exemple, la prétention d’un leader politique, porte-parole de l’opposition ethno communautaire devant le Conseil Constitutionnel, de « passer le concours Bulu » comme le leader du Mrc Renaissance  Maurice Kamto, ou l’usage ethno communautaire de la thèse du Professeur Jean Louis Dongmo sur « le dynamisme Bamiléké ». Je souligne que notre idéal intercommunautaire, vise à mettre en exergue le dynamisme de toutes nos communautés, pour faire de nos différences, le ciment et le levier de notre Unité Nationale : Le dynamisme des communautés Fang-Béti, le dynamisme des communautés du peuple Mandara, le dynamisme des peuples Foulbé, le dynamisme des peuples Sawa, que décrit soigneusement l’auteur de Pour le libéralisme communautaire.

Et j’attaque sur la posture idéologique qui, à tort, m’a été assignée. Je m’y départis, idéologiquement et axiologiquement, par respect pour moi-même et pour tous. Pour que dans la solennité du moment collectif essentiel, que chacun puisse s’en faire une dialectique agissante et rejoindre avec enthousiasme le rassemblement dynamique essentiel du Peuple Camerounais. Je pêche dans mes souvenirs, ce qui peut prouver, aux Camerounaises et aux Camerounais, qui je suis. Et je fais confiance au discernement propre à toutes et à tous.

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Après l’annonce officielle de notre soutien pluriel, totalement indéfectible, et l’appel national au rassemblement essentiel autour de la candidature expérimentée de l’homme du Renouveau politique à l’élection présidentielle de 2018, mon image politique avait été défigurée. Cherchant ainsi à statufier notre action politique collective – le groupe de vingt partis politiques de l’opposition, connu sous l’appellation : G 20. Usant du saccage de l’idéologie de l’indignation tribale, prétendant à tort que j’aurais trahi mes communautés (ethnique, corporative, etc.). La moindre des choses est que les Camerounaises et les Camerounais, puissent juger d’eux-mêmes, et apprécier en connaissance de cause, le sens et l’objet, de l’originalité et de la pertinence, sur l’essentiel de notre démarche politique ouverte.

Ce qui ouvre un nouveau champ des possibles, c’est que les évènements politiques, que je suis allé reprendre dans mes souvenirs, ont traits aux domaines essentiels qui commandent la vie politique des Camerounaises et des Camerounais. Permettre de dégager le dynamisme des lignes de force complémentaire, qui sont nécessairement celles d’hier, mais qui sont assurément celles d’aujourd’hui et de demain. Qu’il s’agisse des institutions, de la politique étrangère et de la défense. Qu’il s’agisse de politique économique, de justice sociale, de transmutation de la société camerounaise et africaine vers l’émergence effective et collective. Il est d’une telle démarche, un essentiel très tenu de notre engagement politique dans l’affrontement collectif au destin commun. Et je regrette, que ça ne paraisse pas assez clairement à l’entendement, intuitif et discursif, des oppositions politiques ethno-communautaires non représentatives.

Même dans un régime de gouvernement représentatif, nous savons que, dès l’instant qu’il y a singularisation de la politique, il y a un risque de captation d’autorité idéologique et axiologique. Encore faut-il pouvoir restituer la nature plurielle de cette singularisation. Mais, il importe d’y parvenir en discernant le circonstanciel de l’essentiel, le commandement de l’obéissance, le privé du public. En situation de pouvoir, nous nous élevons, de manière carrée, contre toutes déviations communautaires graves, voire totalitaires, par rapport à ce que nous pensons être les cheminements du Cameroun, rassemblé et uni vers l’émergence collective. C’est bien ce que, tout à l’avenant, toutes les Camerounaises et tous les Camerounais doivent souhaiter, dans l’intérêt de l’émergence collective au Cameroun, et de chacune et chacun d’entre nous. Sinon, nous bornerons les choses à nos subjectivités respectives, et je deviendrais, en ce moment-là, un politicien de l’air d’un temps. Car, encore une fois, je fais passer l’intérêt du Cameroun avant l’intérêt de mon action politique. Il est de ma contribution, d’accomplir la mission principielle qui est mienne et d’être paré à toutes éventualités qu’il est impossible de prévoir, et dont j’avoue que je ne souhaite la venue de mes vœux, car, une fois de plus, je fais passer l’intérêt du Cameroun avant le mien.

Indignation tribale

Epouser l’idéologie de l’indignation tribale, des oppositions politiques ethno-communautaires, avec ses apparences trompeuses et sa sagacité détournée, pour le meilleur des idées reçues, mais surtout, pour le pire des illusions perdues : c’est le Cameroun sans la raison en politique, où le mythe côtoie l’effroi d’une atmosphère sociopolitique délétère. De par l’envoutement très captivant et autrement plus convaincant des idées reçues, de par la corrosion des valeurs acquises et transmises, l’histoire et la légende n’en font plus qu’un. Un lieu captivant et envoûtant où, la réalité et la virtualité se rejoignent dans la conviction des superstitions. De par le recul avéré des valeurs, la propagande très convaincante des idées reçues se métamorphose en mouvements populaires puis radicales, comme des chenilles deviennent des chrysalides puis des papillons. Les oppositions politiques ethno-communautaires, au Cameroun, avec la froideur du lézard et la fureur du hasard, sont attirées, irrémédiablement, par les convictions de circonstance des idées reçues, comme un papillon est attiré par la lumière : c’est un contre sens social voire un non-sens politique opportuniste.

Sans le rassemblement dynamique essentiel des forces vives, du Peuple Camerounais, qui de tout temps est extrêmement capital, nous ne pouvons émerger collectivement ! Avec le rassemblement dynamique essentiel des forces vives, du Peuple Camerounais, qui de toute époque est pertinemment déterminant, nous ne pouvons échouer conjointement !

Rappelons-nous, éternellement, que nous sommes toutes et tous, Camerounaises et Camerounais, non par la division tribale statique mais pour le rassemblement dynamique essentiel des forces vives, du Peuple Camerounais. Les oppositions ethno-communautaires politiques, virtuelles et existantes, au Cameroun, ne peuvent avoir un sens agrégateur ni fédérateur à notre époque, où le mot « patriotisme » renvoie au nationalisme de Um Nyobe, à la rigueur à celui d’Ahmadou Ahidjo – dans l’impitoyable contexte libéral colonial – ou, de manière plus convaincante, à celui, intercommunautaire, et donc libéral communautaire, de Paul Biya. Elles n’en ont aucun, certainement lorsqu’elles renvoient à des new deal à finalité tribale au moyen d’illusions de perception par chiquenaudes antiétatiques. Autant que le plastique diffuse des perturbateurs endocriniens dans l’eau qu’il contient, la bouteille de l’idéologie de l’indignation des oppositions ethno-communautaires diffuse le poison de la béatification d’une communauté, par une sorte de ségrégation communautaire mal voilée, et au moyen d’énoncés axiomatiques « infalsifiables » et « invérifiables », dont on ne peut prouver ni la vérité ni la fausseté, et n’ayant aucun rapport au raisonnement par l’absurde.

Le fédéralisme dit communautaire, au-delà d’une approche populaire cherchant une sensation spectaculaire, nous apparaît, clairement, comme étant opposé à l’Unité nationale en construction avec l’« Etat unitaire décentralisé », point d’appui essentiel, aménagé et attesté. En ce sens, loin d’être un système de représentation politique indirecte, ce sous dispositif direct – le fédéralisme communautaire – de gouvernement non représentatif des mixités en effervescence, dispose de ses propres éléments fossoyeurs – l’exacerbation du repli identitaire – la généralisation de l’assignation à identité fixe – désenchantement au rassemblement humain présentant des caractères plus ou moins marqués d’homogénéité culturelle, et régi par un pouvoir représentatif institutionnalisé.

Or, il faut être absolument clair sur une chose : il est impossible d’être un opposant, cohérent et intègre, si l’on n’a pas confiance en la régence d’un pouvoir institutionnalisé, si on ne l’accepte pas comme donnée primaire de l’organisation politique de la société des communautés, des mixités et des personnalités, de par sa diversité et, dans un consensus politique de partage et en partage. C’est ce que fait Cabral Libii.

La dégradation de la confiance en l’Etat, par certains milieux idéologiques enchâssés dans une déroute axiologique, du tout ou rien, en lieu et place du rendez-vous du donner pour recevoir, sans pour autant perdre pour gagner, relève de la même croyance que celle en la neutralité politique des idées reçues à propos du Renouveau Politique. Idées reçues que ne cessent d’exacerber certains « pseudo-opposants politiques », et qui sont diffusées par des opposants d’un jour et par tant d’autres girouettes pseudo-politiques.

Venin politique

C’est du venin politique voire un bouillon d’onze heures, sans doute l’un des pires de l’histoire contemporaine de notre espace sociopolitique. On en a récemment vu un avatar supplémentaire, après « la brigade anti sardinards » et autres groupes radicaux et assimilés, avec la « All Bamiléké Conference », la « All Anglophone Conference », « la fédération Ekang », le mouvement « Onze millions de Nordistes », la proclamation de l’idéologie de l’indignation ethno-communautaire du « Bamiléké Power » contre l’idéologie de « l’hégémonie ethnique Ekang », qui rabâche la sempiternelle fable de l’alternance programmée contre la Constitution (qu’elle nomme alternance de gré à gré), de la réduction des inégalités par « une répartition déséquilibrée mais équitable », et des mesures renforcées de participation des Camerounaises et des Camerounais aux « élections politiques plus que transparentes », le tout implicitement mis en place par un égo ethno-communautaire soudainement bienveillant, mais certainement ambivalent. Il y a maintenant deux camps à rassembler ou à unifier, celui des replis identitaires et celui des patriotes ; et nous faisons partie du deuxième, un antidote au misérabilisme sociopolitique dépressif.

De nombreux courants idéologiques de l’opposition ethno-communautaire politique, radicaux et assimilés, qui sont à l’avant-garde de la division tribale, autant au centre qu’à la périphérie du Barreau au Cameroun, pour citer cet exemple, ont fondé et continuent d’axer leurs actions politiques autour d’un projet radical alternatif, sur la personnalité, et non sur la responsabilité de l’homme du Renouveau Politique, concernant un «désastre juridico-politico-socio-économique» imaginaire, d’une perspective inversée mais encore plus forcée, de la société camerounaise « en mouvement d’inertie » : pour eux, changer la société, sauver la Patrie et la Nation, c’est se débarrasser de l’homme du Renouveau Politique, au moyen d’insurrections ethno-communautaires, en incluant l’apport de certaines puissances étrangères. C’est d’ailleurs ce qui justifie généralement l’ancrage « à la radicalité du discours » de nombreux acteurs à la triste figure pseudo politique, d’analyses grotesques aux perspectives hideuses, qui régurgitent des vices clivant par malices tribales – radicaux comme superficiels et assimilés – de l’opposition ethno-communautaire politique au Cameroun.

La suite dans mon livre De l’Union pour le Changement à l’Unité par le Rassemblement: Au-delà des idées reçues et du contentieux idéologique et axiologique.

 

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